Artiste multidisciplinaire, elle cherche à raconter par fragments ou dans un ensemble les effets pervers de l’anthropocentrisme. Elle est titulaire d’un baccalauréat en histoire de l’art et en création de l’Université Concordia et d’un diplôme d’études supérieures spécialisées en coopération artistique internationale de l’Université Paris VIII. Son travail a été présenté à l’international et, en 2017, elle remporte le prix du CALQ – Œuvre de l’année en Estrie, pour son exposition L’inquiète forêt.